Nature quand tu m’appelle, je me promène dans tes sentiers lise ou
sauvage et je ne cesse d’admirer ce que tu me dévoile en joie, en beauté et en
humanité. Pourquoi alors voudrais-je détruire ce que tu offres si
généreusement?
Je tiens trop à toi pour te sacrifier à la richesse éphémère
de ce monde.
Ma voile en main, mon compas dans l’œil, je cherche ce qui
pourrait séduire, attendrir pour faire comprendre tout ce qu’elle nous
procure de bien-être. Sous une musique de la mer qui vague le rivage, je me
laisse aller à cette douce tristesse qui me porte aussi loin que mon âme le
désire. Rien ne la retient. Si ce n’est que ma pudeur quelque peu timide,
dévoilant l’Ombre de ma pensée, de ma félicité.
Découvrant une tourterelle qui me surprend en l’apercevant se nourrir. Carouge à épaulettes qui enfin m’offre une vision de lui qui me séduit véritablement (que vous verrez dans un futur article). Et encore ce Quisdale bronzé jugé très haut, et cette Hirondelle Bicolore sur la maison à oiseaux.
En plus d’un amusant
écureuil qui me regarde de son œil curieux. De quoi ravir tous les cœurs. Sans
oublier cette superbe chienne qui a pris la pause pour mon bel appareil.
Tout cela ne s’arrête pas là. Ces bateaux qui longent le fleuve, au soleil
qui miroite la surface de l’eau offrant des diamants en capture. Sincèrement,
pour trouver de la sérénité rien de mieux que la nature. Le son des vagues. Des
chants qui se multiplient.
Je resterais longtemps à admirer sans rien faire de plus que
d’immortaliser ces bourgeons qui s’ouvrent. Ces fleurs qui éclosent. Ces vagues
qui meurent en doux clapotis. Ces joyeux cris qui se multiplient en se lançant
la réplique la plus incomprise à l’oreille humaine.
Je ne sais où mettre un terme à tout cela, parce que je ne
cesse de découvrir ce qui m’exalte le regard et l’âme. Tant de merveilles. Tant de joie aussi.
Et pourtant, il me faut bien m’en retourner. Non que cette
fois mon appareil m’a fait faux bon par une pile morte, mais parce que mon
estomac me cri famine et parce que mes jambes sont épuisées.
Je suis partie à 6 heures 30 du matin de la maison pendant
que tout le monde dormait en ce beau dimanche, et là, il est? ….. Enfin, je
saurai qu’il était 8 heures 30 quand je franchirai la porte et regarderai l’horloge
de la cuisine. Où tout le monde dormait encore.
Là je finalise le travail des images avant de vous le
présenter avec ce texte qui j’espère vous aura plus, quoique les images j’espère
auront eu l’effet attendu, du plaisir que pour les yeux.
Au plaisir à tous,
Krikri Ma Puce dite Kritoune.
Très belle journée et beau post
RépondreSupprimerJe refile Twitter.
Suivre les liens d'olivier c'est aller à la meilleure école/ web
Bonne journée
Bonne journée Denis et Merci...
RépondreSupprimerOui ce fut une agréable journée... Et ma soirée d'Hier s'en vient aussi... Aussi fabuleuse que la Matinée.
A la prochaine croisée.
Bien évidemment, elle est magnifique sous tous les éléments mais je la préfère au soleil et en couleurs :)
RépondreSupprimerLes mots ainsi que les photos nous permettent bien de nous évader et ça c'est bien l'essentiel
Merci Moun B de ce passage...Et si c'était de l'image d'Entrée, bien ;) je viens de la changer, car je le fais régulièrement. Montrant un instant qui me fascine le temps de quelques jours.
RépondreSupprimerEt c'est vrai. Les photos, la prise, le temps à les capturer, à chercher ce qui nous touche, nous plait, nous interpelle, ce sont des moments qui nous rendent la vie plus douce, plus simple aussi. La Nature est le libérateur des émotions trop dures.
Bonne journée à vous et au plaisir de se recroiser.
Je rêve, je vois un copain de Sam ; mais si : Sam, un des portraits récurrents chez Pierre RC à l'époque de Les beautés de Montréal avant son En trois lignes !... L'écureuil ; que j'ai parfois placé à Scoop.it ;)
RépondreSupprimerBref, une agréable promenade que vous nous offrez !
Ha oui cet écureuil que l'on voit partout et que l'on ne se lasse pas d'immortaliser par ses cabrioles. ;)
RépondreSupprimerEt je suis contente que ce petit voyage vous ai plu. Car moi ce fut le cas. D'autant plus qu'un autre va apparaître sous peu...Balade vers une fin de soirée... Différente de celle-ci.
Merci de votre visite Gilles Desforges