Alors voici cette première partie. Sous un jour quelque peu gris et frisquet. Mais pas trop.
La Caserne 48. Oui elle est situé près d'une station de Métro. Joliette.
Samedi avant d’aller voir les chats à l’SPCA, on a fait une
belle sortie. Une sortie gratuite qui plus est, et qui nous a tous ravi. On est
allé visiter une première caserne de pompier et une seconde avant que les
portes ne ferment. Et la seconde, c’est en se rendant dans le coin de l’SPCA
qu’on a fait un arrêt. Enfin, dans le coin c’est vite dit. C’était plutôt sur
notre trajet.
J’avoue que cette visite j’en avais beaucoup envie. Et
encore là aucun regret. Parce qu’à chaque fois que nous faisons des sorties, il
y a toujours quelques petites anecdotes qui s’ajoutent, faisant d’une banale
promenade, un moment plus particulier.
La caserne de Pompiers 48 est un très vieux bâtiment, où
quelques rénovations intérieures ont été faites, sans se départir totalement
des effets historiques. La devanture quand a elle, classée monument historique, comme cela
se fait avec quelques devantures d’églises, celles-ci ne peuvent être démolies.
Elles doivent être préservées et se faire avec les rénovations intérieures.
Comme nous le disait le pompier, cette caserne a gardé son
cachet malgré les rénovations essentielles, sans toutefois celle des portes
plus récentes, justement pour ne pas démolir la façade.
Je ne voudrais pas parler pour vous, mais, je crois que nous
sommes presque tous fascinés par ces gros engins. (je parle des camions,
évidemment) Ils sont impressionnants et là, j’ai eu la chance d’en apprendre
sur le fonctionnement que ce soir-là, je me suis couchée plus intelligente que
la veille. (petit sourire amusé devant cette remarque que j’écris)
C’est dans le camion qui s’en va vers un sinistre, qu’ils
enfilent leurs grosses bottes. Ça surement que vous vous en doutiez. Mais là où
je fus ébahie, c’est d’apprendre, qu’ils enfilaient aussi leurs soutiens
d’oxygène qu’ils portent au dos lors des combats contre ces monstres brûlants.
Ce soutien est enfoncé dans le siège, ils glissent leurs bras dans les sangles,
qui ressemblent à ceux des gros sacs à dos de camping et lorsqu’ils se lèvent,
ayant déjà enfilé leur manteau et leurs bottes, ils sont fin prêts à l’arrivée
sur la place d’un incendie.
Le camion en route, ils gagnent de précieuse secondes pour
ne pas dire minutes à se vêtir ainsi pendant que l’un des officiers
conduit le véhicule. Ce que vous montre la photo vide de gens et vous montrant
le siège côté passager. Et si je vous en parle, c’est que j’ai bien retenue ma
leçon. (encore un petit sourire amusé qui se dessine sur mes lèvres.)
Comme un autre détail, que vous saurez un peu plus loin dans
les cages d’habits de pompiers. Chaque détail à sa mise en scène pour mieux les
structurer. Associés aux images qui les accompagnent. Sinon, je me perdrais
moi-même dans mon propre récit. Surtout si je dois m’arrêter pour X raison.
Et non, ce n’était pas toutes les casernes qui faisaient
cette visite libre et gratuite, dois-je le mentionner à nouveau. Parce que bien sur ça prenait des casernes prêtes à
intervenir. Tout de même.
Avant d’entrer dans le camion ils descendent par la colonne,
et enfilent leur manteau…Leurs bottes, leur soutien à Oxygène. Les sirènes
hurlent, annonciatrices d’un acte qui fait peur. On les regarde passer quand on
en a la change. Même que la curiosité amène vers le lieu du drame.
Mais je m’arrête là pour la notion du danger. Ce n’était pas
la mise en situation ce jour-là.
Maintenant place à quelques images qui montrent des effets
qu’on n’a même pas idées qu’ils existent. Même que certains, voire plusieurs,
on ne sait même pas à quoi ils servent.
À la seconde partie qui sera bien assez vite...
Krikri Ma Puce dites Kritoune
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