Ceci étant dit, je suis prête pour la suite de cet article. La raison mère même de ce qui va suivre.
Ces derniers temps j’ai la folie dans les voiles. Est-ce la
faute au printemps qui prend vraiment sa place ? Est-ce mon intuition
artistique qui me guide ? Est-ce aussi le désir de renouveau, quoiqu’il en
soit, ces jours-ci je suis poussée par un vent positif, qui amène mes pas vers
des créations que je n’ai jamais faits auparavant.
Je me laisse porter tout doucement et à écouter cette
volonté propre, bien je me surprends à découvrir des nuances, à chercher de
plus en plus ce qui me fera craquer. Succomber aux charmes et sincèrement, je
suis facile à me laisser séduire.

Et je comprends aisément pourquoi depuis quelques jours je
souffre le martyr au cou, au trapèze et aux genoux. Pourtant, je ne pourrais m’en
empêcher.

Alors cette fois-ci autant que je vous laisse découvrir mes
résultats du 1er mai, autant je vous dis que cette séance a eu elle
aussi une multitude de prises autant magnifiques que ratées l’une que l’autre.
Pour parvenir à ne montrer que celles qui sont très belles à regarder pour des
gens ordinaires et c’est tant mieux. Parce que si il n’y avait que des gens
avec une connaissance professionnelle, bien je serais bonne à tout jeter.
Simplement, parce qu’il m’est très difficile de garder le cap. Comme si retenir
ma respiration ne suffisait pas. Le temps que l’image soit prise, la nano
seconde que cela prend, le cap change.
Je l’admet, pour une ou deux j’ai dû découper pour retirer
ce qui n’était pas admissible dans une image où tu cherches à démontrer ta
compréhension des exercices que tu fais.
Mais n’ayez crainte, ici je vous montre tout ce qui concerne
ce volet des bourgeons en pleine éclosion. C’est tellement magnifique que j’en aurais eu pour des heures encore, si ma
pile ne m’avait pas déclarée forfait.

Je vous laisse à ces découvertes d’imageries
photographiques. Tout en vous spécifiant que la plupart du temps, je me suis
servie de mon Mode A, sur focus minimum (3 pour un Coolpix P510) en ISO 100 à
la base. Tout en précisant, que j’ai
pris aussi le mode fleur.
Sincèrement, j'aime de plus en plus me surpasser et découvrir toutes ces facettes de la photographie.
Une véritable passion qui devient encore plus intense.
Krikri ma Puce dite Kritoune.

Qu'ainsi, les voir se déployer tout doucement avec les couleurs, les formes... C'est vraiment époustouflant.
Celle qui suit m'a amusé quand j'ai vu le résultat. Car c'était sensé être l'inverse. Mais l'objectif a préféré se moquer de moi.
Ici je trouvais trop bien les branches en bourgeons au regard des autres arbres plus loin qui sont eux aussi à se vêtir de leur atours d'été.
Et oui. quand on prend les images d'aussi loin, notre oeil ne voit pas ....tout. Ici on remarque la petite bête... Ce qui m'a amusé... D'autant plus, que ce fut pas l'unique fois.
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