jeudi 2 mai 2013

Bourgeons en Éclosion

D'office je ne me prétends pas photographe professionnel. Je préfère encore le mentionner pour ne pas induire les gens en erreur. J'apprends depuis peu à me familiariser avec mon jouet préféré, mon Nikon Coolpix P510.

Ceci étant dit, je suis prête pour la suite de cet article. La raison mère même de ce qui va suivre.


Ces derniers temps j’ai la folie dans les voiles. Est-ce la faute au printemps qui prend vraiment sa place ? Est-ce mon intuition artistique qui me guide ? Est-ce aussi le désir de renouveau, quoiqu’il en soit, ces jours-ci je suis poussée par un vent positif, qui amène mes pas vers des créations que je n’ai jamais faits auparavant.

Je me laisse porter tout doucement et à écouter cette volonté propre, bien je me surprends à découvrir des nuances, à chercher de plus en plus ce qui me fera craquer. Succomber aux charmes et sincèrement, je suis facile à me laisser séduire.

Cette naturelle séduction qui émane de cet aura printanière, me propulse autant que l’écriture. Je ne peux m’en passer. Pas pour l’instant. Si ce n’est que pour me réjouir des résultats obtenus, malgré que cela peut paraître enfantin.

Et je comprends aisément pourquoi depuis quelques jours je souffre le martyr au cou, au trapèze et aux genoux. Pourtant, je ne pourrais m’en empêcher.

Apprendre la photographie au-delà de ce que je connaissais auparavant c’est passionnant. Ça demande beaucoup de patience et de pratique. On ne peut se contenter de quelques prises pour se convaincre que l’on a compris la méthode. Pour la retenir et qu’elle devienne une part de nous-même pour que nous ne voyons plus de la même manière ce que nous faisions, c’est dans la pratique, et encore la pratique et toujours la pratique tout en laissant la place à une nouvelle manœuvre qui se glisse dans la compréhension on ne peut plus acquise.
 
Alors cette fois-ci autant que je vous laisse découvrir mes résultats du 1er mai, autant je vous dis que cette séance a eu elle aussi une multitude de prises autant magnifiques que ratées l’une que l’autre. Pour parvenir à ne montrer que celles qui sont très belles à regarder pour des gens ordinaires et c’est tant mieux. Parce que si il n’y avait que des gens avec une connaissance professionnelle, bien je serais bonne à tout jeter. Simplement, parce qu’il m’est très difficile de garder le cap. Comme si retenir ma respiration ne suffisait pas. Le temps que l’image soit prise, la nano seconde que cela prend, le cap change.

Je l’admet, pour une ou deux j’ai dû découper pour retirer ce qui n’était pas admissible dans une image où tu cherches à démontrer ta compréhension des exercices que tu fais.

Mais n’ayez crainte, ici je vous montre tout ce qui concerne ce volet des bourgeons en pleine éclosion. C’est tellement magnifique que  j’en aurais eu pour des heures encore, si ma pile ne m’avait pas déclarée forfait.

Et tant mieux, parce qu’en ce moment, quelques parties de mon corps, sont à l’état d’homard. Ayant totalement oublié que maintenant, être dehors il y avait de grands risques dans les heures les plus achalandées du jour au parc Bellerive.

Je vous laisse à ces découvertes d’imageries photographiques. Tout en vous spécifiant que la plupart du temps, je me suis servie de mon Mode A, sur focus minimum (3 pour un Coolpix P510) en ISO 100 à la base.  Tout en précisant, que j’ai pris aussi le mode fleur.
 
Sincèrement, j'aime de plus en plus me surpasser et découvrir toutes ces facettes de la photographie.

Une véritable passion qui devient encore plus intense.

Krikri ma Puce dite Kritoune.


J'avoue qu'il m'est difficile de ne plus rien dire quand d'autres images défilent et que pour moi ce fut des heures d'émerveillement à découvrir autrement ces arbres qui d'ordinaire, j'attends qu'ils soient comme ils le sont en été. Totalement vert aux grandes feuilles.
Qu'ainsi, les voir se déployer tout doucement avec les couleurs, les formes... C'est vraiment époustouflant.


Celle qui suit m'a amusé quand j'ai vu le résultat. Car c'était sensé être l'inverse. Mais l'objectif a préféré se moquer de moi.


Ici je trouvais trop bien les branches en bourgeons au regard des autres arbres plus loin qui sont eux aussi à se vêtir de leur atours d'été.


Et oui. quand on prend les images d'aussi loin, notre oeil ne voit pas ....tout. Ici on remarque la petite bête... Ce qui m'a amusé... D'autant plus, que ce fut pas l'unique fois.


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