vendredi 22 mars 2013

Petite serre d'abord

Le jardin botanique renferme plusieurs serres. Ça je vous l'ai déjà dit. 

Chacune d'elle à une thématique. Les bégonias, les cactus, les orchidées et j'en passe. À vrai dire, à cette première visite, je n'ai pas fait exprès de photographier tel ou tel endroit. J'y allais selon ce qui m'interpellait sans véritable notion artistique. En fait, je photographie d'abord pour les sensations que j'en ressens. Le sens de la beauté que je recherche n'est pas forcément celle que les gens recherche.

Moi, je m'écoute. Je photographie Mon émotion. Le message que j'en retient. La beauté devient donc, suggestive. Relative. Non pas un absolu. Même si j'adore les images qui sont superbes, je recherche avant tout, ce que ça vient chercher en moi. Alors le sens de la lumière...Désolée mais ce n'est pas un critère pour moi. Je prends le vif du moment. Si je compose là ce sera différent. Par contre, dans la nature, on prend ce qui vient comme il se présente.

Il est donc normal, que pour les gens de ne pas percevoir ce que moi j'en ai ressentis. Sauf, si l'image parle d'elle-même. Comme par exemple, voir une femme lapidée, vous interpellera. À votre manière.

Je vais donc poursuivre cette visite, qui ici, je délaisse le centre du bâtiment. Premièrement parce qu'au départ, je n'y voyais pas l'intérêt. C'est là où il y a la boutique, les toilettes, le vestiaire, des tables pour pouvoir manger, rien de bien intéressant. Quoiqu'il y ait une maquette qui représente les alentours.

J'irai directement à la phase où nous pénétrons, non pas dans une serre spécifique, mais dans une sorte de vestibule où deux directions nous mènent vers les serres. Cependant, ce vestibule, est une petite serre en elle-même que je vous laisse découvrir avant de prendre la direction de l'une des portes des serres, qui nous conduira vers la serre des papillons en libertés.

Petite information, dans cette entrée,  c'est humide. Mon appareil en a ressenti les effets un laps court de temps. Ce qui n'a pas été le cas au biodôme. Mais ça, c'est une autre histoire.

Comme vous le remarquez, il y avait du monde, et pourtant, c'était bien loin d'être ce que nous avions vu lorsque nous sommes sortis de la serre aux papillons. L'attente était vraiment longue. Alors que nous avions attendu un certain temps. Assez pour que les jeunes s'impatientent. 







Au plaisir messieurs dames

Krikri Ma Puce dite Kritoune 

1 commentaire:

  1. OUI! Un oasis dans la métropole! Beaux souvenirs de mes errances au Jardin Botanique; ce parc (et ses serres) n'est pas assez accessible aux plus démunis, ma seule doléance...Je n'ai pas vu les papillons qui dans un temps passé n'étaient pas là; mais combien de longues marches solitaires dans les sentiers extérieurs...Profitez-en pour moi!

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